Teddy-Jane Scott

« Maman plus tard je serais une reine et comme ça je pourrais diriger le monde »  Ma mère me regarda avec un sourire sur les coins des lèvres, admirant mes ambitions.  A 5 ans je savais déjà ce que je voulais. Je suis née à Sidney, fille de monsieur Andrew Talec Scott & de Jane Béryl Howard-Scott. Mon père travaillait dans la bourse, manipulant beaucoup d’argent et beaucoup de chiffres. Je n’ai jamais réellement compris ce qu’il faisait mais il ma toujours dit : «  ma fille tu seras quelqu’un de grand, tu changeras le monde, ne laisse personne se mettre en travers de ton chemin. J’y veillerai personnellement  je te le promets» Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il a tenu sa promesse. Je n’avais pas beaucoup d’amis plus jeunes, mon père sélectionnait les gens comme ont sélectionne des vêtements. Je me suis donc très souvent retrouvée seule la tête dans les bouquins.  De toute manière je m’en fichais à l’époque je m’étais construis une bulle y’avait moi, mes peluches, mes livres et César.

Nos parents étaient amis, pratiquement l’une des seules personnes assez bien pour mon père. Je suis certaine qu’il avait imaginé nous caser lui et moi mais entre nous il n’a jamais été question de ça bien au contraire. N’ayant pas de frère et sœur il a un peu tenu ce rôle. Lui aussi avait des parents très striques. Lui et moi avons refait le monde de nombres fois. Cela serait mentir que de dire que j’ai été malheureuse non au contraire je n’ai jamais manqué de rien à part peut être de liberté.  C’est à l’âge de 16 ans que je décidé de me rebeller, enfin me rebeller non mais de m’éloigner de mes parents. J’ai trouvé un internat à New York une très bonne école qui pouvait m’ouvrir beaucoup de porte. Après de longues négociations mes parents m’ont donné l’autorisation d’aller vivre chez une tante à New York. Les quitter n’a pas été si difficile que ça. Mais quitter mon seul et meilleur ami César a été un déchirement. « Tu sais que je ne fais pas ça par gaité de cœur mais j’ai besoin de partir César, j’ai besoin de liberté je veux pouvoir voir qui je veux quand je veux je suis certaine que tu comprends non ? » Sur le coup il ne l’a pas bien compris et nous nous sommes quittés fâchés. J’ai eu beaucoup de peine mais je savais ce que je voulais et j’étais prête à tout pour réussir.

New York, la grande ville, la grosse pomme tant de surnoms pour une ville aussi belle. J’avoue que j’ai été quand même un peu perdu au début. Mais je me suis sentie libre et ça, ça n’a pas de prix pour tout le reste y’a master card. J’ai découvert ce que c’était la vraie vie tel une Raiponce enfin sortie de sa tour.  Je suis allée dans un très bon lycée. Ma tante me laissait pas mal de liberté bref c’était la belle vie, j’avais enfin tout ce que j’avais voulu. Meilleure élève du lycée présidente des élèves et capitaine des cheers j’étais enfin devenu quelqu’un d’important comme je l’avais toujours voulu.  La politique m’attirait de plus en plus,

C’est lors de mon année de terminal que les choses basculèrent, y’avait ce garçon au lycée un brin mystérieux totalement rebelle qui me plaisait bien mais lui et moi comment ça aurait pu marcher nous étions si.. différent.[color=#70998d « Salut l’intello j’ai besoin que tu m’aides pour un devoir j’y arrive pas en éco »[/color]  Alexander m’adressant la parole ? Jour à marquer d’une croix blanche. « J’ai pas que ça à faire mais bon j’y gagne quoi en échange ? » Demandais-je d’un ton neutre, avec moi il y’a toujours quelque chose en contrepartie après tout comme le dit si bien Rumpl all magic comes with a price. C’est comme ça que tout à commencé entre nous. Il a été mon premier amour, mon premier copain ma première fois. Inséparable pendant 1 an, il ma fait découvrir les joies de l’amour. J’aurai tout donné pour lui, tout sacrifié.  J’aurai même envoyé se faire voir mes parents qui ne l’ont jamais vraiment apprécié. A la fin du lycée alors que je pensais être à l’abris de tout, il ma quitté, comme une mal propre pour ne pas dire comme une merde. « C’est fini Ted’ je peux plus je suis désolé » Le monde venait de s’écrouler autour de moi, c’était pas possible nous étions si amoureux si fou l’un de l’autre. Il devait y’avoir une explication rationnel à tout ça. Il a toujours une explication rationnelle «J’suis désolé mais c’est comme ça en plus je t’ai trompé ». Bam 3 mots touché coulé. Comment pouvait-il me faire ça ? Je l’aimais merde je pensais que nous étions heureux. Après avoir obtenu mon diplôme je me suis inscrite dans une grande fac de Sidney, back to home.

Pendant 6 ans j’ai étudié la politique, je n’avais qu’un seul but, être la meilleure. Je suis retournée chez moi  et mes parents ont recommencé à tout contrôlé mais je m’en fichais après tout ils avaient déjà gagné Alex m’avait quitté.  J’ai été la meilleure de ma promotion, brillante une élève modèle irréprochable. Je n’ai jamais été aussi malheureuse de ma vie. Je me suis donnée comme objectif d’être la meilleure, le première femme premier ministre d’Australie je sais que j’en suis capable et personne ne me détournera de mon objectif. Pour ça je dois être un modèle, je ne bois pas, je ne fume pas et mes fréquentations sont tout ce qui a de plus de respectable. Au terme de ma sixième année j’ai décidé qu’il était tant pour moi d’étudier la politique ailleurs. Certes les USA n’étaient pas un bon souvenir pour moi, mais grâce aux relations de mon père j’ai obtenu un stage à la Marie de Boston. Assistante de l’assistante du Maire. J’ai fais mes valises et je suis partie.  

Voulant continuer mes études j’ai fais transférer mon dossier à Harvard pour la rentrée 2014, les cours n’étant pas encore terminé pour eux je suis allée en repérage pour voir ce qui allait m’attendre à la rentrée. Harvard est une des plus prestigieuse université du monde j’arriverai à trouver ma place, la meilleur avec les meilleurs non ? J’aimerai intégrer les Dunster mais pour l’heure je dois me concentrer sur mon stage. Tout aurait pu être parfait si je n’avais pas recroiser Alex. Il a l’air d’avoir refait sa vie alors je lui ai dit que j’avais également refait la mienne. Mensonge ouais «  C’est génial je suis contente pour toi Alex.. Mais tu sais moi aussi je suis avec quelqu’un, un homme charmant nous venons même de nous fiancer je suis super heureuse, le bonheur complet le grand amour bref la total » J’ai été stupide de dire ça le pire c’est que j’ai dis que j’allais épouser la personne la plus horrible et la plus désagréable au monde. Jax vient d’Australie comme moi et je le connais depuis l’enfance, un mec minable il est trop sûr de lui et il traite les filles comme des objets. Pourtant c’est le premier nom qui m’est venu à l’esprit. Vous voulez connaître le pire ? C’est que Alex est à Harvard je vais devoir jouer la fiancée amoureuse avec ce pauvre type maintenant. Une chose est sûr j’aurai du rester en Australie ça m’aurait évité bien des soucis.