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 Julian Brown (GMA)

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Princesse Bé
Princesse de l'univers
Princesse Bé


Messages : 37
Date d'inscription : 03/07/2014
Age : 29
Localisation : dans mon château de princesse disney

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MessageSujet: Julian Brown (GMA)   Julian Brown (GMA) EmptyMar 23 Déc - 22:53

Knowing is better than wondering
New-York - 1990


Julian Brown (GMA) 1416099413-anigif
On avait dit 15 000$ et c'est pas ce que je compte dans l'enveloppe que vous venez de me donner. Adossé contre le mur de la sale de garde, Monsieur Brown regarde fixement l'infirmière devant lui. Je vous avais dit 10 000 et c'est déjà largement suffisant, tenez 500$ dollars de plus mais je n'irai pas au delà, à prendre ou à laisser. L'infirmière prit la liasse de billets tendue avant de recompter et de hocher de la tête. Très bien, ça devrait être suffisant. Suivez moi. Tous deux sortirent discrètement de la salle pour se rendre à la maternité de l'hôpital. Aussi étrange que cela pouvait paraître, cet échange d'argent n'avait rien d'anodin. La femme de Monsieur Brown avait perdu leur enfant après trois mois de grossesse, elle était anéantie et son mari ne savait plus quoi faire pour la réconforter. Alors, il avait eu une idée, on dit bien que l'argent peut tout acheter ? Cette transaction le prouvait bien. Quelques minutes plus tard, il portait un bébé dans ses bras, un petit garçon annoncé comme décédé à la naissance, arraché de sa porté de quadruplés pour quelques dollars. Une nouvelle identité, de faux papiers, un acte de naissance falsifié et le tour était joué. Ce bébé supposé mort devint Julian Brown. Bien évidemment, Mme Brown ne fut pas au courant des trafics de son époux. Elle ne vit que du feu au mensonge de l'adoption, et ne pouvait qu'être heureuse de voir son mari arriver avec un bébé dans les bras. Dès la première seconde, elle l'aima profondément. Monsieur Brown, lui, était plus réservé, il aimait son fils mais le fait qu'il ne soit pas le sien a toujours mis une distance. Il préfère de loin ses deux filles, son sang. Voilà comment débute mon histoire, pas très glorieux, ma vie commence sur un mensonge, sur des pots de vin, autant dire que mon destin était tracé. Mon père est toujours très exigent avec moi et même si mes parents m'ont toujours dis qu'ils m'aimaient comme si j'étais leur fils biologique parfois je me pose la question.

Love at first sight
New-York - 2011


Julian Brown (GMA) 1415653683-anigif
L'alcool qui coule à flot, les billets qui tombent du ciel, les nanas à ne plus savoir qu'en faire, voilà à quoi ressemblait ma vie. C'était le paradis pour moi, jeune étudiant. J'étais le roi de l'université, le maître du monde. J'étais vénéré, adoré, adulé et même jalousé. J'avais l'univers à mes pieds et j'adorais ça. Tout le monde voulait être dans mon cercle d'amis et certaines filles auraient tué leur soeur pour que je leur lance ne serait-ce qu'un regard. Non, je ne me vante pas, tout ceci est la réalité. Etudiant à Yale depuis deux ans, je ne suis pas là pour étudier mais bien pour m'amuser. De temps en temps, j'assiste aux cours, vais aux examens mais sans grande conviction. A quoi bon me tuer à la tâche si je peux réussir sans ne rien faire ? Grâce à papa, je n'ai même pas besoin de bosser, je claque des doigts et je deviens le major de promo. C'est l'avantage d'être riche. Après avoir brillamment passé mes partiels de fin d'année, je rentre chez moi à New-York pour les vacances d'été. L'occasion de retrouver mes amis d'enfance, mes soeurs, mes parents et surtout de m'amuser encore plus. Ici, il y a des tonnes de possibilité pour faire la fête, ce que je n'ai pas toujours à New-Haven. C'est d'ailleurs sur recommandation d'un ami que je finis par appeler une fille, une escort. Je n'ai jamais utilisé ce type de service, je n'en ai pas besoin, j'ai toutes les filles que je veux n'importe quand mais l'idée d'avoir une fille à mon service pour une soirée voire plus me tentait grandement. Il m'avait garanti que celle ci était plus belle que toutes les nanas que j'avais pu cotoyer, j'en doutais vu le nombre de filles que j'ai eu dans mon lit mais soit, j'appelle la dite Caitlin qui au début, n'était pas vraiment partante mais je sais y faire avec les nanas, quelques compliments et elles disent toutes oui. J'ai donc passé la soirée en la compagnie d'une escort. Elle était effectivement très belle, brune, grande, élancée, de grands yeux bleus-gris, vraiment très jolie. Mais ça n'est pas parce qu'elle a un minois d'ange que je vais changer de comportement. Pour moi les filles, ça n'est qu'un passe-temps. Ca va, ça vient. Mais pour la première fois de ma vie, une femme me tenait tête. Elle avait un sacré caractère la Caitlin et elle m'a même laissé en plan comme ça d'un coup sans se faire payer en plus. Ca a eu le don de me scotcher sur place. Jamais encore une fille ne m'avait remis en place comme ça et je dois bien reconnaître que c'est son petit caractère qui m'a d'abord plu. Il ne m'a pas fallu plus de quelques jours pour la recontacter et depuis on ne se quitte plus. Je l'aime sincèrement, ce qui est également nouveau pour moi. Elle est divine, parfaite, je sais que c'est la femme de ma vie et même si mon père n'est pas vraiment emballé par son compte en banque, ça m'est complètement égal. Après un an de relation aussi passionnée que tendre, je suis décidé à la demander en mariage. Je sais que ça peut paraître rapide mais c'est la bonne, je sais que c'est elle et qu'il n'y aura personne d'autre. Je veux me marier avec Ebony Hopkins et passer le reste de ma vie avec elle. Je veux même fonder une famille, chose impensable pour un mec comme moi. J'avais choisi la bague avec attention, elle était aussi sublime qu'Ebony, il y avait un diamant au centre, je n'avais qu'une hâte, la lui mettre au doigt, mais les choses ne se passent pas toujours comme on le voudrait.

there is no we anymore
New-York - 2012


Julian Brown (GMA) 1415653236-1411845128-gma-2
Poussez vous bordel, dégagez de là putain ! dis je en poussant des gens qui barraient ma route. Courant à toute vitesse dans l'hôpital, je ne savais même pas où aller exactement et après avoir incendié la secrétaire qui ne tapait pas assez vite sur son foutu clavier, je finissais par trouver l'étage où elle se trouvait. Je ne voulais pas y croire jusqu'à ce que je la vois dans son lit; branchée de partout et surtout inconsciente. Non, non, ça n'est pas possible, pas elle, pas elle putain. Sous la colère, je balançais la poubelle à côté de moi. Je ne voulais pas pleurer parce que je n'étais pas une mauviette mais la voir dans cet état, me rendait hors de moi. Un accident de voiture, un putain d'accident de voiture et ma vie basculait. Elle n'était même pas responsable, un connard lui avait grillé la priorité et avec la pluie qui tombait, elle n'avait pas pu freiner à temps. Dire qu'elle était sur le chemin pour rendre à l'appart où j'avais prévu de lui faire ma demande, tout aurait du être parfait mais le chaos régnait en maître. Je ne voulais même pas rentrer dans sa chambre pour la voir. Ca me tuait déjà assez comme ça. Ma vie s'écroulait sous mes yeux sans que je ne puisse rien dire. La femme que j'aimais était entre la vie et la mort et je ne pouvais rien faire pour arranger la situation. Non, me touchez pas c'est bon je suis calme, je suis calme. Un agent de sécurité, on aura tout vu, je ne peux même pas exprimer ma colère, où va le monde franchement. Finalement après plusieurs heures et alors que tous les autres visiteurs étaient partis, je me décidais enfin à aller la voir, le coeur lourd. Prenant une chaise à côté de son lit, j’entrelaçais mes doigts aux siens avant d'embrasser sa main. Je déglutissais, la regardant inconsciente et toujours branchée à des tonnes de moniteurs. Je passais mon autre main dans ses cheveux, les caressant doucement. Même endormie et blessée, elle reste la plus belle. Réveille toi Eb, je t'en prie, je fais comment moi sans toi hein ? Tu ne peux pas me laisser, pas maintenant, réveille toi je t'en supplie . Je restais la fixer tout en gardant ce contact physique avec elle, j'en avais besoin pour me dire qu'elle était encore là. Le personnel hospitalier n'osait pas venir me dire de partir, et je crois que j'aurai pu tuer le premier qui venait me déranger. C'est à cet instant qu'elle ouvrit les yeux, je sentis une vague de soulagement m'envahir. Elle était de retour, je savais qu'elle était plus forte que ça. Mon amour tu es réveillée, tu m'as tellement manqué si tu savais, je t'aime. dis je en embrassant de nouveau le dos de sa main. Mais elle retira vivement celle-ci de la mienne, me regardant comme si j'étais un étranger. Mais qui êtes vous ? Qu'est ce que je fais là ? J'étais un peu perplexe, qu'est ce qu'elle raconte ? Est ce que c'est les médocs qui lui font dire ça ? Eb, c'est moi, Julian et tu es à l'hôpital, tu as eu un accident de voiture. dis je doucement pour ne pas trop la brusquer. Mais je ne connais aucun Julian, vous me faites peur. Je n'eu pas le temps de répliquer que des infirmières arrivèrent suivies de médecins. On me demande de sortir de la chambre, ce que je fis sans trop de résistance. Et après de longues minutes, on m'annonça qu'elle avait une perte partielle de sa mémoire du à l'accident et au choc. Ils ne savaient pas encore combien de temps exactement elle avait oublié, probablement autour d'une année soit le temps que nous avions passé ensemble, elle m'avait oublié, rayé de sa vie, de sa mémoire, je n'existais plus pour elle. Alors pour qui est ce que j'existe ? Elle était mon âme soeur et je viens de la perdre, probablement à jamais. Tout recommencer à zéro ? Impossible. Je dois juste mettre une croix sur elle, sur nous. Je repartais aussi de l'hôpital et rentrait chez moi. Le lendemain, j'étais admis à UCLA en Californie. Il fallait que je sois loin d'elle, loin de ma vie avec Ebony. A Los Angeles, j'allais renouer avec mes anciens démons, la fête, les filles, l'alcool, la drogue. Tout faire pour moi aussi oublier à mon tour.

Let's have some fun
NYC/LA/PORTLAND - 2012/2014


Julian Brown (GMA) 1419258875-1416019818-bellian-3
La vie à Los Angeles n'est pas si mal que ça. Au moins, il faut chaud et beau presque toute l'année c'est déjà ça. J'avais donc repris mes habitudes d'avant Ebony. Je ne pensais presque plus à elle et à cette année perdue. Je me demande encore comment j'ai pu tomber aussi bas. Être amoureux d'une nana, une ancienne escort en plus, et vouloir l'épouser ! J'ai encore la vie devant moi, je pense que ça aurait fini en divorce comme la moitié des couples. Je préfère largement changer de conquêtes tous les jours, c'est plus excitant, plus fun. Je vis ma vie à fond et peu importe ce que les autres peuvent bien dire, je m'en contre-fiche. Cependant après un an sous le soleil californien, je me suis retrouvé à Portland, parce que bien que papa faisait en sorte que mes notes soient excellentes, je n'en foutais pas une et ne venais même pas au cours et à peine aux examens. J'ai donc été contraint de changer de fac, encore. Ca n'est que la quatrième après tout. J'y ai tenu deux ans et même si au début, mon père continuait d'effacer mes conneries, arrivé un moment, il a dit stop et j'ai donc louper en beauté ma sixième année. J'ai décidé d'arrêter les études, ça n'a jamais été pour moi de toute manière. Retour à la maison, New-York me voilà. Je ne suis pas à plaindre. Certes je n'ai pas validé ma maitrise mais papa m'a donné le poste de rédacteur en chef du ny times parce que oui, ce journal appartient à ma famille. J'avoue qu'en revenant, j'ai eu peur de retomber sur Ebony mais bon, il n'y a pas de raison. Il y a tellement de monde que ça serait juste un pur hasard si nos routes se croisaient et puis elle ne se souvient pas de moi donc bon, ça simplifie les choses.
Ce soir, je teste un nouveau bar branché dans Manhattan avec quelques amis. La soirée se passe bien, je bois pas mal, commande des magnums de champagne, de toute façon j'ai les moyens. Au milieu de tout ce monde, je croise le regard d'une brune et dieu ce qu'elle est belle. Je n'ai pas vu une fille aussi jolie depuis ben depuis Ebony quoi. Quelques sourires, un ou deux verres d'offerts et ça se termine dans mon lit qui a déjà accueilli bon nombre de filles. Elle n'est pas la dernière ni la première. Par contre ce qui est inédit, c'est la suite des choses. En me réveillant, je m'attendais à voir une sublime créature à mes côté et pourquoi pas remettre ça encore une fois, mais non, à la place, je vois un vide et des draps froissés. Pas un mot, rien. Elle est juste partie comme ça au petit matin et ça, je ne le supporte pas. Aucune nana ne m'a fait un tel coup auparavant, aucune. Etrangement, elle me rappelle un peu le caractère vif d'Ebony mais là, c'est pire que ça, elle a cru qu'entre nous deux, c'était elle qui dominait ? J'espère pour elle, qu'elle ne recroisera pas mon chemin ... Alors que je continuais de râler intérieurement contre cette petite garce, je trouvais une bague, et bon bien que j'aime prendre soin de moi, je ne suis pas encore arrivé là et puis c'est une bague de femme ça. C'est la première fois que je la vois ici, c'est sûrement la brune de hier soir qui l'a oublié ou perdu et vu les inscriptions dessus, c'est pas une bague de fiançailles, de mariage ou un truc en toc, on dirait plus un bijoux de pureté. Intéressant dit donc. Je passais le reste de la matinée à me demander quand est ce que l'inconnue de hier soir allait se manifester et ce que je lui dirais à ce moment là. Après un petit-dej et une bonne douce chaude, je file au boulot, en retard comme toujours mais on s'en fiche de ça, je suis presque comme le boss. Une fois au siège du ny times, je fais mon job enfin si on veut, je me tape une stagiaire dans mon bureau, regarde deux ou trois articles qui doivent être publiés et puis voilà. Lyla ma chérie, tu peux me dire comment se sont passés les entretiens de ce matin pour le poste de secrétaire ? Je la laissais aller chercher les CVs et elle me montra ceux qui avaient retenu l'attention du directeur RH. Je suis supposé choisir parmi ceux qu'il a préféré mais étrangement mon attention se porte sur une candidature qui apparemment ne lui a pas du tout plu et pourtant je reconnais la fille sur la photo, la nana de hier soir, celle qui m'a planté. Bellamy Steele Lyla me regarde comme si je venais de dire pénis tout haut. Je veux cette fille et c'est non négociable. Que le jeu commence !

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MessageSujet: Re: Julian Brown (GMA)   Julian Brown (GMA) EmptyMar 23 Déc - 22:55

NOM : brown PRÉNOMS : julian oliver nathaniel zachary AGE : vingt-quatre ans DATE ET LIEU NAISSANCE : 12 novembre 1990 à ny (usa) NATIONALITÉ : américaine ORIGINE(S) : américaines et espagnoles ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel il n'y a pas de doutes à avoir là dessus STATUT CIVIL : profite de sa liberté depuis deux ans maintenant VIE SEXUELLE : relations d'un soir, infidèle, tout sauf le mec idéal STATUT SOCIAL : riche riche riche à se rouler dans des $$ PROFESSION : rédacteur en chef du ny times DIPLÔME : baccalauréat en journalisme et communication, n'a pas fini sa maîtrise, a raté sa sixième année, bref c'pas einstein mais c'est parce qu'il se foutait de sa scolarité, fiesta avant tout ANNÉE DE FIN D'ÉTUDES : 2014 ES-TU UN ANCIEN ÉTUDIANT DE COLUMBIA ? non, loin de là QUARTIER DE RÉSIDENCE : upper east side baby TYPE DE LOGEMENT : immense loft AVEC QUI VIS-TU ? moi et c'est déjà beaucoup DATE D'ARRIVÉE À NY : depuis ma naissance mais je suis de retour depuis deux mois, au final je n'y ai pas vécu autant que ça à force de bouger DANS QUELLES VILLES AS-TU DÉJÀ VÉCU ? new-haven, portland, los angeles, new-york, rome entre autre AS-TU DE LA FAMILLE À NY ? toute ma famille ou presque CINQ DÉFAUTS : imbu de sa personne, arrogant, prétentieux, déteste avoir tord ou perdre, a toujours ce qu'il veut quoiqu'il arrive, est prêt à écraser les autres pour atteindre ses objectifs, égocentrique, manipulateur, un vrai connard avec la gente féminine, cash, rancunier CINQ QUALITÉS : brillant quand il veut, très sociable il a le contact facile, charismatique, débrouillard, malin, sait tirer la situation à son avantage AUTRE ? a failli se fiancer à celle qu'il considérait à l'époque comme la femme de sa vie mais depuis qu'elle l'a zappé de sa mémoire, il est devenu testeur de draps officiel et approuvé GROUPE times square
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